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Le bon choix pour l’été de votre enfant

Mise à jour par Marion Garteiser, journaliste santé le 14/06/2016 - 12h03
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Les stages, en été, sont une étape quasi incontournable pour les parents qui travaillent, et ce depuis le plus jeune âge. Mais comment faire le bon choix ? Nous passons en revue les facteurs principaux. 

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Première étape : un agrément

Tant l’ONE (http://www.centres-de-vacances.be/parentenfant/trouver-une-plaine-un-stage-ou-un-sejour/index.html) pour le côté francophone que Kind en Gezin (http://www.kindengezin.be/kinderopvang/sector-schoolkinderen/alleen-maar-vakantieopvang/) pour la Flandre offrent un agrément des organisations qui proposent des plaines ou stages de vacances. La première étape quand vous choisissez un stage est de vérifier que ces stages ont l’agrément. Cela vous offre des garanties quant à la sécurité et au bien-être de votre enfant pendant le stage, mais vous permet aussi de déduire en partie les frais de garde de vos impôts.

 

Le choix de l’activité

Une fois que vous êtes sûr(e) que l’institution est agréée, il est temps de vous poser la question de l’activité que vous souhaitez proposer à votre enfant. Et là, vous avez l’embarras du choix ! On peut diviser les enfants en deux grands groupes :

  • En dessous de trois ans, comme les enfants sont vraiment très petits, il y a surtout de l’éveil. Celui-ci peut être principalement physique, avec des stages de psychomotricité ; mais on trouve aussi des stages d’éveil à la musique, aux langues, au yoga, etc. Le tout sera panaché avec des temps de jeu, des histoires, et une sieste.
  • Après trois ans, les activités deviennent beaucoup plus variées. Vous pouvez choisir un sport spécifique (tennis, arts martiaux, natation…) ou une activité dans une liste qui va de la cuisine au théâtre en passant par la musique, l’apprentissage des langues, et à peu près tout ce que vous pouvez imaginer.

Pour faire un choix, tenez bien entendu compte des goûts de votre enfant, mais aussi des découvertes que vous voulez lui offrir. S’il court toute la journée, vous aurez sans doute envie de le mettre au sport… mais le yoga, ou une initiation à la musique, pourront peut-être lui apprendre à se centrer et à se calmer. À l’inverse, pour un enfant timide et effacé on pensera spontanément à des activités au calme, mais quelque chose qui lui propose de se confronter, une initiation aux arts martiaux par exemple, pourrait l’aider à prendre confiance en lui ou en elle.

 

Initialement publié par Marion Garteiser, journaliste santé le 14/06/2016 - 12h03 et mis à jour par Marion Garteiser, journaliste santé le 14/06/2016 - 12h03
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