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Cancer de l'ovaire : le diagnostic

Mise à jour par Collectif d'auteurs de la Fondation ARC le 28/01/2010 - 01h00
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Trop souvent posé de manière fortuite ou tardive, le diagnostic du cancer de l'ovaire passe le plus souvent par l’échographie. Mais seul le prélèvement puis l’examen au microscope peuvent confirmer avec certitude le caractère malin de la tumeur décelée.

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Cancer de l'ovaire : l'examen clinique

Lors d’une consultation de routine ou motivée par un inconfort au niveau de l’abdomen, le caractère anormalement volumineux d’un ou des ovaires peut alerter le médecin. Cette découverte a souvent lieu lors d’un toucher vaginal chez le gynécologue.

Mais régulièrement, l’anomalie est mise en évidence par un gastro-entérologue voire un généraliste par simple palpation de l’abdomen. Dans ce cas, elle suggère une tumeur déjà bien développée. A contrario, il n’est pas rare qu’une tumeur passe inaperçue lors de l’examen clinique.

Cancer de l'ovaire : l'échographie pelvienne

L'échographie pelvienne est l’outil incontournable auquel fera appel le médecin au moindre signe suspect. La sonde est placée directement sur la peau du bas-ventre ou introduite dans le vagin.

L’échographie permet de visualiser la tumeur, d’évaluer sa taille, sa forme, son contenu (solide ou liquide) donc de distinguer s’il s’agit d’un kyste bénin ou à d’un cancer. Elle permet aussi de repérer si les organes voisins sont atteints.

Initialement publié par Collectif d'auteurs de la Fondation ARC le 04/03/2014 - 10h36 et mis à jour par Collectif d'auteurs de la Fondation ARC le 28/01/2010 - 01h00
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