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Intoxication alimentaire, le mal de l’été?

Mise à jour par Thérèse Dupont, journaliste santé le 30/07/2012 - 10h22
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L’été est là? Ne baissez pas votre garde, il compte aussi son lot de petits maux et  maladies… Dont la très redoutée intoxication alimentaire. Ayez les bons réflexes!

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L’intoxication alimentaire: le mal de l’été

Crampes et douleurs intestinales, diarrhées, vomissements… autant de symptômes qui doivent vous inquiéter sur la fraîcheur ou la bonne conservation de la glace que vous avez achetée sur la plage à un vendeur ambulant.

Si l’hiver préfère les infections virales, l’été lui s’accompagne d’intoxications alimentaires et de gastro-entérites. Des infections favorisées pendant la belle saison par différents facteurs:

  • Diminution de notre vigilance.
  • Chaleur propice à la prolifération des bactéries.
  • Conditions d'hygiène pas toujours optimales, notamment en camping, en trekking ou dans des pays exotiques.

 

Intoxication alimentaire: trois petits jours et puis s’en va…

Une intoxication alimentaire, c'est grave?

Cela dépend de deux facteurs.

  • D'abord, la bactérie qui va envahir l'organisme. Certaines provoquent les symptômes classiques (douleurs intestinales, diarrhées, vomissements…) et disparaissent rapidement. D'autres sont plus redoutables, voire mortelles.
  • Ensuite, le malade. Certaines personnes sont en effet plus fragiles, alors que d'autres pourront tolérer une quantité plus importante de bactéries dans leur nourriture.

Les nouveau-nés et les personnes âgées sont plus sensibles et courent des risques de déshydratation plus importants.

Les personnes souffrant de cancers, qui ont subi une opération du côlon ou de l’intestin ou encore qui prennent des médicaments réduisant l’acidité de l’estomac devront aussi être particulièrement vigilantes. Leurs moyens de défense affaiblis, elles résisteront moins bien aux infections.

 

Initialement publié par Thérèse Dupont, journaliste santé le 30/07/2012 - 10h22 et mis à jour par Thérèse Dupont, journaliste santé le 30/07/2012 - 10h22

Article rédigé avec la collaboration du Dr. Eric Firre, infectiologue au CHR de Liège

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