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Traumatisme collectif: en parler est-il toujours nécessaire?

Publié par Julie Luong, journaliste santé le 30/09/2008 - 00h00
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Tous différents

Loin de conclure à l'inutilité d'exprimer ses sentiments après un événement traumatisant, l'étude souligne la diversité des manières de réagir: si votre voisin ressent un besoin impérieux de parler pour évacuer son angoisse, la parole peut très bien générer chez vous l'effet inverse - et cristalliser une peur que vous auriez aisément et sainement refoulée sans cela… Une mise en garde donc contre les généralisations qui voudraient que parler sans frein et sans limites d'un événement stressant serait définitivement un signe de bonne santé mentale. Car si partager ses expériences peut être bénéfique, encore faut-il trouver l'art, la manière… et un interlocuteur compétent. Sans quoi, gare au retour de manivelle.

Publié par Julie Luong, journaliste santé le 30/09/2008 - 00h00 University at Buffalo (www.buffalo.edu)
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