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Thalasso : à chacun son bain!

Publié par Emilie Veyretout, journaliste santé le 22/07/2008 - 00h00
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Vous ne savez plus à quel bain (marin) vous vouer ? Bouillonnant, hydromassant ou lumineux : découvrez les trois versions du bain de thalassothérapie et plongez pour ses incroyables bienfaits !

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Comment choisir son bain marin: le bain bouillonnant

C'est la version la plus classique du bain marin, et l'un des soins les plus appréciés de thalassothérapie: le bain bouillonnant. Dans une baignoire, l'eau est chauffée (entre 34 et 37°) et agitée grâce à un système de bulles. Le bouillonnement produit, en plus des vertus reminéralisantes de l'eau de mer, effectue un massage relaxant sur les muscles. Il est particulièrement bénéfique dans le cadre de contractions musculaires (parfait pour les sportifs!) et il permet de lutter contre les problèmes de circulation ou de cellulite (c'est pourquoi on le retrouve souvent dans le cadre d'une cure minceur). Le bain bouillonnant est individuel, il dure une vingtaine de minutes. A la maison, pour prolonger les bienfaits d'un séjour en thalasso, vous pouvez vous offrir les vertus d'un bain à mini bouillonnement grâce aux pastilles effervescentes (disponibles dans de nombreuses gammes).

Comment choisir son bain marin: le bain hydromassant

Le bain hydromassant est, dans son déroulement et ses bienfaits, assez proche du bain bouillonnant. On l'appelle parfois bain à jets. Le principe? On plonge dans une baignoire remplie d'eau de mer (toujours chauffée) et l'on se laisse masser par des jets sous-marins cycliques qui partent des pieds jusqu'à la nuque en suivant les trajets musculaires. Le bain hydromassant est relaxant, il active le retour veineux (donc la circulation), il combat la cellulite et procure un effet tonique remarquable (la peau est revitalisée, le corps fait le plein en actifs marins reminéralisants). Le bain hydromassant est parfois enrichi en boues marines, en algues et/ou en huiles essentielles pour s'attaquer de près aux problèmes d'arthrose, aux rhumatismes et autres.

Publié par Emilie Veyretout, journaliste santé le 22/07/2008 - 00h00
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